La semaine dernière, en revenant d’une pratique de soccer, mon fils de 12 ans a consigné ses pensées sur un bloc-notes. Quand il a eu terminé, il me l’a tendu en disant : « Voici ce que j’ai [créé]. »

Il avait dessiné une ligne du temps de la création de Dieu et avait écrit un résumé du message de l’Évangile : « Christ a été crucifié, mais il est ressuscité le troisième jour. Il a payé pour nos péchés. Puis il est monté au ciel et nous demande maintenant d’être ses disciples, et il sera avec nous jusqu’à la fin des temps. [Dieu] a fait cela afin d’avoir une relation avec nous. »

Pour que les gens venant de différents systèmes de croyances puissent comprendre, mon fils a ajouté : « Question pour [les incrédules]. Comment êtes-vous parvenu à vous créer et pourquoi ? »

Voici ce que Psaume 8.2,3 affirme : « Éternel, notre Seigneur ! Que ton nom est magnifique sur toute la terre ! Ta majesté s’élève au-dessus des cieux. Par la bouche des enfants et de ceux qui sont à la mamelle tu as fondé ta gloire, pour confondre tes adversaires, pour imposer silence à l’ennemi et au vindicatif. »

Chaque fois que mon fils (ou tout autre croyant) témoigne de la puissance de Dieu, mes ennemis les plus impitoyables (l’inquiétude, la peur, le désespoir et l’impuissance) sont réduits au silence. Les doutes qui s’opposent à la bonté de Dieu, les peurs qui s’opposent au fait qu’il pourvoit fidèlement à nos besoins (PH 4.19) et le désespoir qui s’oppose à l’espoir sans limites que Christ nous offre (RO 15.13) perdent leur voix lorsque nous faisons confiance à la force de Dieu.

Quand un enfant parle de la puissance et de la majesté de Dieu, nous devrions l’écouter et remercier Dieu pour ce que cet enfant a compris par la foi et pour ce que Dieu a accompli. Puissions-nous proclamer, avec la jeunesse : « Éternel, notre Seigneur ! Que ton nom est magnifique sur toute la terre ! » (V. 9.)