Month: octobre 2013

LES YEUX DE L’AMOUR

Beaucoup de ceux qui assistent aux spectacles de Marc Salem le croient capable de lire dans la pensée. Il le nie toutefois, ne se disant ni médium ni magicien, mais simplement un bon observateur des gens. Il a dit à la rédactrice Jennifer Mulson : « Notre monde nous est en grande partie invisible parce que nous ne prêtons pas attention aux choses. […] Je suis très sensible à ce que les gens dégagent » (The Gazette, Colorado Springs).

LE DERNIER CHAPITRE

J’ai une amie qui lit le dernier chapitre d’un nouveau roman à suspense avant de lire le reste. « Ça libère la lecture de l’appréhension », dit-elle. Cela s’applique aux chrétiens. Comme nous connaissons la fin de l’histoire, nous pouvons être des oasis de paix au cœur du chaos le plus total, calmes devant la catastrophe.

MERVEILLEUSE !

Alors que notre avion amorçait sa descente, l’agent de bord nous a lu la longue liste des renseignements relatifs à notre arrivée comme si elle la lisait pour la millième fois ce jour-là – sans émotion ni intérêt, comme si elle prononçait un long discours au sujet de notre arrivée imminente. Puis, d’un même ton las et trahissant l’ennui, elle a fini ainsi : « Passez une merveilleuse journée. » La sécheresse de son ton de voix contrastait avec ses paroles. Elle a dit « merveilleuse », mais sans la moindre trace de conviction.

METS EN LUI TON ESPÉRANCE

Compte tenu des nombreuses formes de communication instantanées que nous connaissons aujourd’hui, l’impatience avec laquelle nous attendons de recevoir une réponse est parfois risible. Une de mes connaissances a envoyé un courriel à sa femme et lui a ensuite téléphoné à l’aide de son cellulaire parce qu’il était impatient de recevoir une réponse !

DIEU DANS LA TEMPÊTE

Tôt en matinée, le vent s’est levé et la pluie s’est mise à frapper ma maison comme s’il s’agissait de petites pierres. En jetant un coup d’œil à l’extérieur, j’ai vu le ciel d’un gris jaunâtre et j’ai regardé le vent malmener les arbres. Des éclairs, accompagnés de terribles coups de tonnerre, illuminaient le ciel. L’électricité partait et revenait, et je me suis demandé pendant combien de temps le mauvais temps sévirait.

DES INGRÉDIENTS SAINS

Ma femme, Martie, veille soigneusement à acheter des aliments sains et nutritifs. Peu importe combien l’emballage est attrayant, elle vérifie la liste des ingrédients au dos de la boîte. La vue d’un grand nombre de mots difficiles à prononcer lui révèle généralement la présence d’agents de conservation qui nuisent à une bonne alimentation. Elle remet toujours ces articles dans les rayons et continue de rechercher des étiquettes offrant des produits alimentaires naturels qui contribuent à une bonne santé.

AIMER ET SAVOIR

Dans un de ses romans, Jonathan Safran Foer a fait dire à un personnage au sujet de l’Empire State Building de New York : « Je connais cet immeuble parce que je l’aime. »

RECRÉATION

La vie passée de Chris Simpson était consumée par la haine. Après que sa femme et lui ont perdu leur premier enfant, il s’est senti confus et en colère. Il a dirigé cette colère contre divers groupes ethniques et s’est couvert le corps de tatouages haineux.

PERDRE ET RETROUVER
LA VIE EN LUI

Lorsque mère Teresa est morte en 1997, les gens se sont émerveillés une fois de plus devant son exemple d’humble service envers Christ et les plus démunis. Elle avait passé cinquante ans à œuvrer auprès des pauvres, des malades, des orphelins et des mourants avec les Missionnaires de la Charité à Calcutta, en Inde.

LA CAMPAGNE

Chaque année, les jeunes du quartier participent à la campagne « Be Nice » (Sois gentil) d’une organisation spécialisée en santé mentale. Lors d’un des événements au programme de la campagne 2012, 6000 élèves ont épelé les mots BE NICE avec leurs corps allongés sur le terrain de sport de leurs écoles. Un directeur a déclaré : « Nous voulons que les élèves viennent à l’école y apprendre sans se faire distraire par un sentiment de peur, de tristesse ou de malaise en compagnie de leurs pairs. Nous travaillons d’arrache-pied pour veiller à ce que les élèves s’édifient entre eux, plutôt que de se rabaisser réciproquement. »