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Le grand réveil

Je chéris les souvenirs que j’ai gardés de rencontres avec des amis de la famille quand nos garçons étaient petits.

S’immerger dans la Parole

Lorsque notre Xavier était tout petit, nous sommes allés visiter en famille le Monterey Bay Aquarium. Désignant du doigt la grande sculpture suspendue au plafond de l’entrée, j’ai dit : « Regardez. Une baleine à bosse. »

Un boeuf dans la rue

Les pique-niques sont généralement plaisants, sauf si vous vous rendez compte, quelques minutes avant de partir, que vous devez apporter un repas à partager. Lorsque cela m’est arrivé, j’ai rapidement mis de la viande dans une casserole, allumé le feu et quitté la cuisine pour aller terminer d’autres préparatifs. Quelques minutes plus tard, j’ai senti une odeur de brûlé. J’ai couru à la cuisine, mais évidemment, il était trop tard pour récupérer l’offrande brûlée.

D’un clignement de yeux

Dieu est comme une paupière », m’a lancé mon ami Ryley, me faisant cligner des yeux de surprise. Que pouvait‑il bien vouloir dire par là ?

Ce dont nous parlons

En Grande-Bretagne, nous aimons parler de la météo. Nous en parlons avec les gens que nous connaissons et ceux que nous venons de rencontrer. Nous en parlons au début d’une réunion de travail ou lors d’un repas. Parfois, nous n’abordons le sujet que pour briser la glace ; c’est une façon de commencer ou de développer une conversation. Souvent, toutefois, ce n’est qu’un moyen d’être amical tout en évitant l’intimité, la profondeur ou le sentiment d’engagement. Ainsi, discuter de la pluie et du beau temps nous permet de garder une certaine distance tout en étant sympathiques.

Le meilleur de tous les bals

Lorsque Tom Carlisle a dit à ses parents qu’il ne voulait pas aller au bal de fin d’études de son lycée, ils ont compris. Tom éprouve des difficultés quotidiennes que la plupart d’entre nous ne peuvent comprendre. Ce jeune homme a des besoins particuliers, et il savait qu’il n’allait pas être à l’aise dans ce cadre social.

La joie de la fidélité

Au début de 2014, le monde a tourné son attention vers Sotchi, en Russie, où les athlètes olympiques poursuivaient la quête de toute une vie. Notre famille aime les Jeux d’été et d’hiver – le faste des cérémonies, le courage et les luttes des athlètes, l’entente entre les pays.

Des paroles importantes

On estime que six milliards d’exemplaires de la Bible ont été vendus un peu partout, ce qui en fait le livre le plus vendu au monde. L’Américain moyen en possède trois ou quatre exemplaires. Selon un sondage fait en 2012, cependant, 18 pour cent de ceux qui vont à l’église ont révélé ne la lire que rarement ou même jamais, et 22 pour cent ont affirmé ne la lire qu’une fois par mois. Seulement 19 pour cent ont dit la lire chaque jour. Lamar Vest, président de l’American Bible Society, en a conclu : « Il doit y avoir environ cinq Bibles sur les étagères de chaque foyer américain. Les Américains achètent des Bibles… mais ne les lisent pas. »

Non aux étrangers

Dans la région éloignée du Ghana où je vivais enfant, il n’était pas rare d’entendre un certain proverbe : « À l’heure du repas, point d’ami. » Les gens de l’endroit jugeaient impoli de se présenter chez quelqu’un à l’heure du repas, car la nourriture était souvent rare. Cette maxime s’appliquait tant aux voisins qu’aux étrangers.

Faire ce qu’il demande

Comme j’avais besoin d’un réservoir souterrain et que je savais très bien comment je voulais qu’il soit fabriqué, j’ai donné des instructions claires à son fabricant. Le lendemain, en l’inspectant, j’ai constaté avec contrariété qu’il n’avait pas suivi mes directives. Il avait modifié le plan de travail, qui avait donc changé le résultat escompté. Or, le prétexte qu’il m’a fourni s’est avéré aussi contrariant que ce constat.