Month: octobre 2015

Réparer ou remplacer ?

Il fallait réparer les boiseries vieillissantes des fenêtres de notre maison. Je les ai donc grattées et poncées en y mettant par la suite du bouche-pores. J’y ai ensuite appliqué une couche d’apprêt et de la peinture beaucoup trop chère. Depuis, mes boiseries ont belle apparence et leur aspect me récompense de mes efforts. Elles n’ont cependant pas l’air neuves. La seule façon d’y parvenir serait de remplacer le vieux bois par du nouveau.

La voix de la foi

La nouvelle était si bouleversante qu’elle ne pouvait retenir ses larmes. Les questions se bousculaient dans sa tête, et la peur était sur le point de la submerger. Pourtant, sa vie allait bien avant qu’elle ne soit brusquement perturbée et changée à jamais, sans avertissement.

Les tempêtes de la vie

L’Évangile de Marc fait état d’une tempête terrible. Les disciples et Jésus étaient à bord d’une barque et ils traversaient la mer de Galilée. Quand « il s’éleva un grand tourbillon », les disciples, dont certains d’entre eux étaient des pêcheurs d’expérience, ont craint pour leur vie (4.37,38). Dieu ne s’en faisait-il pas pour eux ? Jésus ne les avait-il pas triés sur le volet et n’étaient-ils pas proches de lui ? N’obéissaient-ils pas à son ordre de passer sur l’autre bord ? (V. 35.) Pourquoi donc traversaient-ils une telle tourmente ?

L’attente

Nous recherchons tous quelque chose. Que recherchez-vous ? Un emploi, un mariage, la paix familiale ? Imaginez avoir à attendre des siècles avant de voir une promesse s’accomplir, mais qu’il n’y ait aucune preuve qu’elle va réellement se réaliser. C’est sous ce climat spirituel et émotionnel que Jésus est né. Les gens attendaient que Dieu accomplisse sa promesse de restauration par le Messie, mais l’obscurité politique, sociale et spirituelle dissimulait toute preuve que Dieu tiendrait sa promesse. Plusieurs personnes en avaient assez de pratiquer la justice. Pourtant, un homme continuait d’attendre et avait confiance en la promesse de Dieu (Lu 2.25).

Attention à la clôture !

Fillette, j’ai accompagné mes parents rendre visite à mon arrière-grand-mère, qui vivait près d’une ferme. Sa cour était entourée d’une clôture électrique destinée à empêcher les vaches de paître son gazon. Quand j’ai demandé à mes parents si je pouvais jouer dehors, ils y ont consenti, en m’avertissant de ne pas toucher à la clôture si je ne voulais pas recevoir de décharge électrique.

Par-dessus la clôture

Imaginez-vous une voiture perchée sur une clôture de métal (la partie avant d’un côté et le pare-chocs arrière de l’autre). Des agents de police ont été témoins de cette scène improbable alors qu’ils venaient d’empêcher des contrebandiers de traverser illégalement les douanes du Mexique aux États-Unis. Deux hommes avaient poussé la voiture par-dessus la clôture de quatre mètres à l’aide de rampes, et espéraient la faire descendre de l’autre côté de la même manière. Lorsque les agents des services frontaliers sont arrivés sur les lieux, les hommes se sont enfuis.

Matière à réflexion

Au début du mois de septembre 2011, un incendie incontrôlable a détruit 600 domiciles dans la ville et les environs de Bastrop, au centre du Texas. Quelques semaines plus tard, l’Austin American-Statesman mettait en manchette : « Les gens qui ont perdu le plus se concentrent sur ce qu’ils n’ont pas perdu. » L’article décrivait la générosité exceptionnelle de la collectivité et racontait que ceux qui avaient été soutenus par leurs voisins, leurs amis et la communauté avaient compris que ce qui leur restait comptait beaucoup plus que ce qu’ils avaient perdu.

Il faut sauver Rahab

Le RQ-170 Sentinel est un véhicule aérien sans pilote, secret, furtif et sophistiqué, utilisé pour recueillir des renseignements avant et pendant des opérations militaires. On croit que ce drone espion a joué un rôle crucial dans la surveillance des enceintes de la cachette d’Oussama Ben Laden peu avant sa mort.

Rater sa chance

J’ai entendu les paroles les plus tristes aujourd’hui. Deux chrétiens parlaient d’un sujet sur lequel ils ne s’accordaient pas. Le plus âgé des deux avait pris un air suffisant. Se servant de l’Écriture comme d’une arme, il accusait l’autre de tout ce qu’il considérait comme mal chez lui. Le plus jeune semblait fatigué du sermon, fatigué de l’autre et découragé.

Souffrir pour le bien

En décembre dernier, vingt minutes ont suffi pour que quatre Pakistanaises soient tuées par balle dans la ville de Karachi. Puis, une cinquième a été abattue à Peshawar. Pour rendre la situation encore plus horrible, ces femmes faisaient partie d’une équipe médicale qui était en train de mettre sur pied un programme de vaccination contre la polio organisé par l’ONU. Un porte-parole de la police de Karachi a expliqué à la BBC que « ces attaques étaient prévues d’avance et coordonnées dans diverses localités ».