Après l’université, j’ai oeuvré dans un ministère sportif pendant plusieurs années durant lesquelles je me suis nouée d’amitié avec quelques athlètes professionnels et olympiques. Au cours de la dernière année, j’ai discuté avec ces amis, et ils m’ont tous expliqué qu’après s’être retirés de la compétition, ils avaient eu de la difficulté à savoir quoi faire de leur vie.

Bien que je n’aie jamais été une athlète d’élite, je comprends ce sentiment de confusion qui accompagne souvent les changements importants de notre vie. Heureusement, nous avons un Père céleste qui se soucie de nous durant chaque période de notre vie et qui, en temps de transition, désire nous voir venir à lui pour obtenir des conseils.

« Si quelqu’un d’entre vous manque de sagesse », a écrit Jacques, « qu’il la demande à Dieu, qui donne à tous simplement et sans reproche , et elle lui sera donnée. Mais qu’il la demande avec foi, sans douter ; car celui qui doute est semblable au flot de la mer, agité par le vent et poussé de côté et d’autre » (1.4‑6).

Cela me réconforte particulièrement de savoir que, malgré mes erreurs passées, Dieu m’est toujours accessible. Le psalmiste a écrit : « Car tu es bon, Seigneur, tu pardonnes, tu es plein d’amour pour tous ceux qui t’invoquent » (Ps 86.5).

Nous sommes appelés à (1) nous confier en l’Éternel de tout notre coeur ; (2) ne pas nous appuyer sur notre propre sagesse ; (3) le reconnaître dans toutes nos voies. C’est alors qu’il dirigera nos pas (Pr 3.5,6).

En effet, Dieu nous donnera généreusement la sagesse dont nous avons besoin. Mais nous devons la lui demander avec foi, sans douter (Ja 1.6). Et alors que nous suivons sa direction divine, il nous donnera la joie au lieu du désoeuvrement (Pr 29.18). C’est en recherchant la direction de Dieu que nous serons bénis de sa sagesse.