Ma bouteille d’eau a bon goût, mais comment puis-je être certaine qu’elle provient d’une source montagneuse comme on l’affirme ? On rapporte qu’environ 40 % de l’eau embouteillée provient du robinet. De plus, beaucoup de gens du Royaume-Uni et de l’Europe se rendent compte que les probabilités de trouver de la viande chevaline dans leurs saucisses de boeuf sont en croissance. Des tests sur des paquets de viande étiquetés « boeuf » ont permis de dévoiler au grand jour une fraude générale dans l’industrie de l’alimentation lorsqu’on y a découvert de l’ADN de cheval. Des histoires comme celles-là font naître le cynisme, la peur et la méfiance.

Au coeur d’une culture suspecte, il y en a un en qui nous pouvons avoir confiance. Jésus a dit : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie » (Jn 14.6). D’autre part, les gens peuvent être inconstants. Ils nous laissent tomber et nous déçoivent. « Le coeur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant : Qui peut le connaître ? » (Jé 17.9.) Mais nous pouvons avoir confiance en Dieu et en sa Parole immuable. « Car je suis l’Éternel, je ne change pas » (Ma 3.6).

Si vous avez été poussé à bout, meurtri par la réalité cuisante de promesses non tenues, Jésus a dit : « Que votre coeur ne se trouble point, et ne s’alarme point » (Jn 14.27). Cependant, l’Écriture nous conseille d’être sages : « Garde ton coeur plus que toute autre chose » (Pr 4.23).

Si nous marchons en harmonie avec Jésus, nous serons en mesure de discerner ceux à qui faire confiance, où aller et quoi faire. Dans Jean 8.32, Jésus réaffirme sa promesse : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira », une promesse qui durera toute la vie. « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui, et éternellement » (Hé 13.8).

Je suis rassurée lorsque je pense à un hymne d’Edward Mote : « Jésus est ma retraite sûre, le Rocher en qui je m’assure […] tout autre appui n’est que du sable. »